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Groupe J
Cette épervière est citée une dizaine de fois dans l'Ubaye.
Jérémie Van Es et Jean-Marc Tison (VAN ES J. & TISON J.-M. 2018. N o t i c e s d e s c r i p t i v e s d e H i e r a c i u m d e s A l p e s f r a n ça i s e s . Conservatoire Botanique National Alpin, 255p.) :
"Endémique sud-ouest alpine
Très proche de H. tomentosum mais un peu plus petit à conditions égales. Poils toujours clairsemés sur la face supérieure des feuilles (facilement dénombrables, cas rare chez les autres taxons). Feuilles basales généralement envahies de taches lie-de-vin diffuses ou entièrement lie-de-vin. Feuilles caulinaires de forme lancéolée notablement acuminée. 20 à 40 cm.
Pelouses et landes écorchées, pinèdes claires, sur pentes rocailleuses ou rocheuses, en situation bien exposée et chaude, sur substrats carbonatés, à l’étage subalpin (Seslerion caeruleae, Avenion montanae, Ononido-Pinion).
Taxon surtout connu de l’Ubaye où il a été redécouvert seulement en 2016 et fréquemment noté depuis. Données historiques à confirmer dans le Queyras, mention probablement erronée au mont Mounier. À rechercher dans les Alpes du Sud calcaires.".
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