d'après la Flore de Coste
• Plante annuelle de 1-3 dm, dressée, ascendante ou diffuse, à rameaux étalés, pubescente.
• Feuilles caulinaires oblongues-lancéolées, lâchement dentées ou entières, mucronées, sessiles et demi-embrassantes.
• Capitules assez grands, solitaires, terminant les rameaux. Involucre à folioles presque égales, oblongues-lancéolées, acuminées, à bords étroitement scarieux.
• Fleurs jaunes, penchées lors de la fructification.
• Akènes extérieurs arqués, épineux sur le dos, les intérieurs roulés en anneau, lisses ou épineux.
- n° 1172 du catalogue de L. Laurent.
- Exogène archéophyte ? Mars-mai. Thérophyte, (hémicryptophyte). Euryméditerranéen.
- Première citation connue : Cité par S.-J. Honnorat à Allos (vers 1840) (donnée critique).
- De la basse Durance à 1000 m : méso- et supraméditerranéen . Héliophile, thermophile, mésoxérophile, calcicline, terricole, nitratophile. Friches nitratées, pieds de vieux murs, moissons.
- Assez rare - 42 observations retenues/44 - 19/198 communes - 23/341 mailles. Ce calendula est essentiellement disséminé dans le quart sud-ouest. Les données de l'Ubaye et du Haut-Verdon sont douteuses. Bas-Verdon, Plateau de Valensole, Pays de Manosque, Luberon oriental, Pays d’Entrevaux.