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Les 10 résultats...
Paronyque en cyme
Chaetonychia cymosa (L.) Sweet, 1839
Paronyque
Paronychia Mill., 1754
Paronyque argentée
Paronychia argentea Lam., 1779
Paronyque en tête
Paronychia capitata (L.) Lam., 1779
Paronyque en tête
Paronychia capitata (L.) Lam. subsp. capitata
Paronyque imbriquée
Paronychia kapela (Hacq.) A.Kern., 1869
Paronyque imbriquée de Provence
Paronychia kapela subsp. galloprovincialis P.Küpfer, 1974
Paronyque imbriquée
Paronychia kapela (Hacq.) A.Kern. subsp. kapela
Paronyque imbriquée
Paronychia kapela subsp. serpyllifolia (Chaix) Graebn., 1919
Paronyque à feuilles de renouée
Paronychia polygonifolia (Vill.) DC., 1805
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Fougère des hêtres
Phegopteris connectilis (Michx.) Watt, 1867
= Thelypteris phegopteris (L.) Sloss., 1917
Plante patrimoniale
Flore de Coste et R. Prelli
• Fougère vivace à rhizome allongé, écailleux, aussi long ou plus long que le limbe, formant des populations localisées mais denses.
• Pétiole allongé. Limbe de 15-30 cm, horizontal ou retombant, plus long que large, d'un vert tendre, triangulaire-lancéolé, longuement acuminé, poilu-cilié, bipennatipartite ou bipennatiséqué. Pennes basales déjetées vers le bas et vers la face supérieure de la feuille. Segments primaires tous sessiles, plus ou moins confluents à la base, les inférieurs opposés et souvent déclinés en bas. Lobes oblongs, obtus, entiers ou denticulés.
• Sores petits, dépourvus d'indusie, rapprochés du bord des lobes et sur 2 lignes parallèles à leur nervure.
- n° 2297 du catalogue de L. Laurent.
- Indigène. Juin-septembre (fructification). Géophyte. Circumboréal.
- Première citation connue : Deux citations de M. Darluc (1782, Lure) et E. Requien (début XIXe, Barcelonnette) dans le Catalogue de S.-J. Honnorat. Vu par Rémy Prelli (Allos, 1990, in litt.).
- 1400 et 2000 m pour les stations récentes, entre montagnard et subalpin. Héliophile à mésosciaphile, cryophile, mésophile à mésohygrophile, silicicole. Forêts de montagne.
- Rare - 7 observations retenues/8 - 4/198 communes - 6/341 mailles. La (re)découverte de Phegopteris par R. Prelli à Allos, puis d’autres botanistes à Méolans-Revel, établit la présence de cette fougère dans les Alpes-de-Haute-Provence. La station historique de M. Darluc sur la Montagne de Lure (fin XVIIIe) est à retrouver. Ubaye, Haut-Verdon, (Adret de Lure).
P. connectilis (Michx.) Watt peut être confondu avec Gymnocarpium robertianum (Hoffm.) Newman dont il se distingue par le limbe des pennes soudé au rachis [vs. non soudé, ou seulement au sommet de la feuille chez G. robertianum (Hoffm.) Newman].
Son statut patrimonial est lié à sa rareté dans le département.
| J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
juin-septembre (fructification)
 |  |  |
 |  |  |
| 3000 m |  |
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| 2000 m |  |
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| 1000 m | |
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| 0 m | |
2) Cliquez sur les photos pour les agrandir…
| Rare - 6/341 mailles. | ||
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Cité avant et après 1991 | |
| 3 |  |
Cité après 1991 seulement |
| 3 |  |
Cité avant 1992 seulement |
| 1 |  |
À confirmer/infirmer |
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Erroné | |
Référentiel taxinomique : TaxRef v16
Mise en ligne de la fiche le : 01/02/2021
Modification ou ajout de photo(s) le : 29/12/2022
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