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n° 1727 du catalogue de L. Laurent.
La pariétaire officinale est citée une quarantaine de fois, tant dans la littérature ancienne (à l'époque on ne distinguait pas toujours Parietaria judaica L. de P. officinalis L.) que dans des relevés récents (la distinction avec P. judaica n'est pas toujours facile). Aucune de ces données n'est confirmée. La plupart ne correspondent pas à l'écologie de cette pariétaire. C'est une espèce atlantique qui ne pourrait fréquenter, dans notre département, que les milieux rupestres frais comme les gorges du Verdon, s'affranchissant tant des rigueurs montagnardes que de l'influence méditerranéenne.
À ce jour, nous considérons Parietaria officinalis L. absent des Alpes-de-Haute-Provence.
Mais cette position soulève une question connexe à lequelle nous n'avons pas de réponse à proposer. La pariétaire officinale est réputé hôte unique de la vanesse des pariétaires, Polygonia egea (Cramer, 1775), notée une trentaine de fois dans le département…
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Cité avant et après 1991 | |
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Cité après 1991 seulement | |
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Cité avant 1992 seulement | |
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À confirmer/infirmer | |
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Erroné |
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