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Flore de Coste
• Arbre de 4-15 mètres.
• Feuilles ovales-aiguës, arrondies ou obliquement en cœur à la base, inégalement dentées ou incisées-lobées, minces, d'un vert clair, glabres, sauf les nervures et les aisselles légèrement pubescentes
• Fleurs tétramères groupées en épis à peu près aussi longs que leurs pédoncules. Sépales glabres aux bords. Stigmates glabres.
• Fruits (mûres) petits, blancs, rosés ou noirs, à saveur fade et sucrée.
On le distingue du mûrier noir plus par la longueur du pédicelle fructifère (de 5-15 mm) et la fadeur du fruit que la couleur de ce dernier (parfois trompeuse).
Originaire de Chine, le mûrier blanc a été introduit en France à la fin du XVe siècle pour l’alimentation des vers à soie (les chenilles du Bombyx mori L.). Il n’est pratiquement plus planté depuis la fin de la sériciculture, mais survit çà et là (jusqu’à quand ?) dans les fourrés et bosquets riverains des canaux, ruisseaux et vallons frais. La rareté des données anciennes est un peu étonnante, peut-être parce qu’il n’était à l’époque qu’une espèce cultivée “utilitaire” ?
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Cité avant et après 1991 | |
35 |
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Cité après 1999 |
9 |
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Cité avant 2000 seulement |
1 |
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À confirmer/infirmer |
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Erroné |
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