d'après la Flore de Coste
• Plante herbacée de 20 à 50 cm, dressée à rameaux grêles, nus, dressés.
• Feuilles rudes, les inférieures indivises, les caulinaires pennatiséquées à segments linéaires denticulés.
• Capitules à 4-5 fleurs. Involucre oblong, glabre, atténué à la base. Ombilic basilaire, suborbiculaire. Fleurs purpurines.
• Akènes gros, renflés, obconiques, longs de ± 4,5 mm, plus courts que l’aigrette à soies d’un roux foncé ou d’un brun noir. Aigrette intérieure formée de 10 écailles.
- n° 940 du catalogue de L. Laurent (Crupina vulgaris Pers.).
- Indigène. Mai-août. Thérophyte. Euryméditerranéen.
- Première citation connue : 1845, Simon-Jude Honnorat (Corbières).
- De la basse Durance à 1300(1600) m : étages méso- et supraméditerranéen, plus haut en position d’adventice. Héliophile, thermophile, xérophile ou mésoxérophile, neutrophile, calcicline, terricole ou gravicole. Ourlets des chênaies blanches, thuriféraies, fruticées à romarin, garrigues, friches chaudes, moissons.
- Commun - 412 observations - 102/198 communes - 133/341 mailles. Crupina vulgaris est présente dans tous les districts mais plus commune dans le sud du département.